Nous sommes arrivés au Brésil le 17 mars. La France instaurait le confinement. Le monde fermait ses frontières.

Cabedello

Brésil

 Heureux d’avoir une place en marina, nous pouvons nous reconnecter au monde et réceptionner notre belle hélice toute neuve commandée au Cap-Vert.

Hélice Maucour

nous récupérons tranquillement de la traversée en profitant des bonnes choses locales: BBQ, fruits et avocats tropicaux délicieux.

BBQ

Dans l’attente que la situation s’éclaircisse et pour ne pas perdre de temps (3 mois de visa c’est court) nous tentons de rejoindre Manaüs ou Santarem en avion pour nous perdre en Amazonie quelques temps. Peine perdu ! Billets en poche, nous restons coincés sur place. Les lignes aériennes ferment, les bus et transports fluviaux interdits aux non résidents. Les frontières maritimes se ferment au nord comme au sud. Trop tard en saison pour descendre en Argentine, pas envie d'aller moisir en Guyane. Nous sommes bloqués à Joao Pessoa.

Nous trouvons réconfort à la marina, avec son petit bar/resto animé par un sympathique cuisinier belge ! Les carbonades, bières et caïpirinha s’enchaînent.

 

Véro arrivera à nous dégoter une petite maison en bord de plage atlantique pour faire le point. Il fait très chaud et même l’eau de mer à 30° n’est pas très rafraîchissante.

Les ouistitis voudraient bien profiter eux aussi de la piscine.

 ouistiti

La décision est prise : Nos visas courent et nous stagnons. La situation sanitaire va vraisemblablement exploser ici. Nous rentrons en France 3 mois nous confiner et recharger les visas.

A bientôt Brésil, à bientôt Liberdade.

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